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Auteur Yasmina Khadra |
Documents disponibles écrits par cet auteur



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Au début des années vingt, Turambo et sa famille, issus d'un petit village berbère, s'installent dans les bas-fonds d'Oran, métropole coloniale et cosmopolite où ils vivent misérablement. Sa destinée prend un tour nouveau lorsque, remarqué par u[...]texte imprimé
Amine, chirurgien israélien d'origine palestinienne, a toujours refusé de prendre parti dans le conflit qui oppose son peuple d'origine et son peuple d'adoption, et s'est entièrement consacré à son métier et à sa femme, Sihem, qu'il[...]texte imprimé
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"J'ai compris très jeune que j'avais le pouvoir de transformer la déveine qui me suivait à la trace en source d'énergie, de la transcender par la littérature. A l'Ecole des cadets, la plume m'a permis de tenir tête à l'adversité. Ch[...]texte imprimé
«Mon oncle me disait : "Si une femme t'aimait, et si tu avais la présence d'esprit de mesurer l'étendue de ce privilège, aucune divinité ne t'arriverait à la cheville." Oran retenait son souffle en ce printemps 1962. La g[...]texte imprimé
«Mon oncle me disait : "Si une femme t'aimait, et si tu avais la présence d'esprit de mesurer l'étendue de ce privilège, aucune divinité ne t'arriverait à la cheville." Oran retenait son souffle en ce printemps 1962. La g[...]texte imprimé
«Mon oncle me disait : "Si une femme t'aimait, et si tu avais la présence d'esprit de mesurer l'étendue de ce privilège, aucune divinité ne t'arriverait à la cheville." Oran retenait son souffle en ce printemps 1962. La g[...]texte imprimé
«Mon oncle me disait : "Si une femme t'aimait, et si tu avais la présence d'esprit de mesurer l'étendue de ce privilège, aucune divinité ne t'arriverait à la cheville." Oran retenait son souffle en ce printemps 1962. La g[...]texte imprimé
«Mon oncle me disait : "Si une femme t'aimait, et si tu avais la présence d'esprit de mesurer l'étendue de ce privilège, aucune divinité ne t'arriverait à la cheville." Oran retenait son souffle en ce printemps 1962. La g[...]texte imprimé
«Mon oncle me disait : "Si une femme t'aimait, et si tu avais la présence d'esprit de mesurer l'étendue de ce privilège, aucune divinité ne t'arriverait à la cheville." Oran retenait son souffle en ce printemps 1962. La g[...]texte imprimé
«Mon oncle me disait : "Si une femme t'aimait, et si tu avais la présence d'esprit de mesurer l'étendue de ce privilège, aucune divinité ne t'arriverait à la cheville." Oran retenait son souffle en ce printemps 1962. La g[...]texte imprimé
«Mon oncle me disait : "Si une femme t'aimait, et si tu avais la présence d'esprit de mesurer l'étendue de ce privilège, aucune divinité ne t'arriverait à la cheville." Oran retenait son souffle en ce printemps 1962. La g[...]texte imprimé
«Mon oncle me disait : "Si une femme t'aimait, et si tu avais la présence d'esprit de mesurer l'étendue de ce privilège, aucune divinité ne t'arriverait à la cheville." Oran retenait son souffle en ce printemps 1962. La g[...]texte imprimé
"J'ai souvent touché le fond, sauf qu'à chaque tasse bue, je remonte plus vite qu'une torpille. Renié par ma mère pour anormalité physique, je me réinvente au gré de mes joies. J'aime rire, déconner, me faire mousser et rêver de sac[...]texte imprimé
Réfugié avec ses derniers fidèles dans une école désaffectée de Syrte, complètement ravagée, Kadhafi croit encore à sa bonne étoile, alors que les rebelles, appuyés par l'aviation des coalisés, resserrent leur emprise. Envahi de cauchemars, drog[...]