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Titre : | Elles vivaient d'espoir |
Auteurs : | Claudie Hunzinger |
Editeur : | Paris : Grasset, 2010 |
ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-246-77291-0 |
Format : | 245 p. / 20 cm |
Claudie Hunzinger est née en Alsace. Elle est poète, peintre et artiste plasticienne. Elles vivaient d’espoir est son premier roman.
C’est l’histoire d’amour entre Emma et Thérèse qui se sont rencontrées à Nancy, dans une classe préparatoire au concours d’entrée à Fontenay, dans les années 20. Cette histoire, Emma l’a relatée dans la correspondance et les cahiers qu’elle a tenus tout au long de sa vie, et dont s’est inspirée Claudie Hunzinger, sa fille, pour écrire le roman de ces deux femmes.
Cet amour est un modèle d’audace et de liberté. Eloignées l’une de l’autre par les postes où elles sont nommées, elles s’écrivent et essaient de s’accommoder de ces solitudes imposées. Si Emma, modèle de vitalité, y parvient sans peine (et non sans infidélités), Thérèse souffre et n’aspire qu’à retrouver Emma. Celle-ci finit par se marier peu de temps avant que la guerre n’éclate. Thérèse a été nommée en Bretagne, tandis qu’Emma, désormais en charge d’une famille, enseigne en Alsace. Les circonstances tragiques imposées par l’Histoire vont alors les empêcher de jamais se revoir. Thérèse, la délicate, la fragile, est devenue responsable d’un réseau armé en Bretagne puis capturée par la Gestapo et torturée quatre jours consécutifs, elle mourra sans avoir parlé : une héroïne magnifique, restée une héroïne invisible. Personne ne sait aujourd’hui qui elle fut. L’engagement des femmes dans le chapitre de la guerre est très peu connu. Emma, de son côté, meurtrie par un mariage qui ne lui convient guère, continue à écrire. On lit dans un cahier la dernière partie de sa vie : « C’est par la dévastation de moi-même que je me suis finalement construite. »
Romancées par Claudie Hunzinger, se déploient ainsi deux trajectoires dont on n’a jamais tout à fait la clef. L’énigme et les fragments des destinées de ces deux femmes fondent l’essentiel poétique de ce roman.
C’est l’histoire d’amour entre Emma et Thérèse qui se sont rencontrées à Nancy, dans une classe préparatoire au concours d’entrée à Fontenay, dans les années 20. Cette histoire, Emma l’a relatée dans la correspondance et les cahiers qu’elle a tenus tout au long de sa vie, et dont s’est inspirée Claudie Hunzinger, sa fille, pour écrire le roman de ces deux femmes.
Cet amour est un modèle d’audace et de liberté. Eloignées l’une de l’autre par les postes où elles sont nommées, elles s’écrivent et essaient de s’accommoder de ces solitudes imposées. Si Emma, modèle de vitalité, y parvient sans peine (et non sans infidélités), Thérèse souffre et n’aspire qu’à retrouver Emma. Celle-ci finit par se marier peu de temps avant que la guerre n’éclate. Thérèse a été nommée en Bretagne, tandis qu’Emma, désormais en charge d’une famille, enseigne en Alsace. Les circonstances tragiques imposées par l’Histoire vont alors les empêcher de jamais se revoir. Thérèse, la délicate, la fragile, est devenue responsable d’un réseau armé en Bretagne puis capturée par la Gestapo et torturée quatre jours consécutifs, elle mourra sans avoir parlé : une héroïne magnifique, restée une héroïne invisible. Personne ne sait aujourd’hui qui elle fut. L’engagement des femmes dans le chapitre de la guerre est très peu connu. Emma, de son côté, meurtrie par un mariage qui ne lui convient guère, continue à écrire. On lit dans un cahier la dernière partie de sa vie : « C’est par la dévastation de moi-même que je me suis finalement construite. »
Romancées par Claudie Hunzinger, se déploient ainsi deux trajectoires dont on n’a jamais tout à fait la clef. L’énigme et les fragments des destinées de ces deux femmes fondent l’essentiel poétique de ce roman.
Exemplaires
Code-barres | Cote | Localisation | Section | Disponibilité |
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aucun exemplaire |