"Il s'assoit près de moi sur le lit, tente de me prendre dans ses bras, mais je le repousse. Alors il parle calmement et fermement : "Je ne savais pas comment te dire ça… Mais nous ne rentrons pas, nous restons ici". Je bondis, en hurlant : "Menteur ! Espèce de lâche ! Tu sais parfaitement pourquoi j'ai accepté de venir ici : il s'agissait de vacances. Tu dois me laisser partir ?' Il me repousse brutalement "Tu es ici pour le reste de ta vie, tu comprends ça ? Tu ne quitteras jamais l'Iran !"
Je suis effondrée sur le lit, en larmes. Ma fille s'est mise à pleurer, accrochée à son lapin en peluche."