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Titre : | Voleur de feu - Livre 2 : une vie d'Arthur Rimbaud |
Titre de série : | Voleur de feu, 2 |
Auteurs : | Damien CUVILLIER, Auteur |
Editeur : | PARIS, FRANCE : Futuropolis (Gallimard), 2024 |
ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-7548-4361-4 |
Format : | 1 volume (107 pages) / tour en ill. en coul. / 31 cm |
Note générale : | Notice rédigée d'après la couverture |
Langues: | Français |
Index. décimale : | 741 |
Que connaît-on de la vie d'Arthur Rimbaud ? Des fragments sont attestés et vérifiés, mais une bonne partie ne peut que se réduire à des hypothèses. Comment raconter la vie d'un homme célèbre qu'on connaît autant et si peu ? En ne racontant pas "la" vie du poète mais "une" vie d'Arthur. En remplissant les vides avec une rigoureuse imagination.
Dans ce deuxième tome, Arthur Rimbaud n'a pas encore 16 ans. Il écrit ses premiers poèmes, en 1870. En août, il fugue, pour la première fois par l'escalier de service, à l'aube, la sacoche militaire de son père en bandoulière. Il veut prendre le train pour Paris, mais la ligne est coupée par les bombardements prussiens. La guerre, la guerre, la guerre : "C'est effrayant, les épiciers retraités qui revêtent l'uniforme ! ... ma patrie se lève !... moi, j'aime mieux la voir assise ; ne remuez pas les bottes ! c'est mon principe", écrit-il à son professeur Georges Izambard. Alors, Arthur marche vers Charleroi, en Belgique, où il compte, de là, rejoindre Paris. Il y parviendra en septembre, mais pris sans billet il sera emmené directement à la prison de Mazas... Paris devra attendre un peu...
Ce sera au moment de la Commune.
Dans ce deuxième tome, Arthur Rimbaud n'a pas encore 16 ans. Il écrit ses premiers poèmes, en 1870. En août, il fugue, pour la première fois par l'escalier de service, à l'aube, la sacoche militaire de son père en bandoulière. Il veut prendre le train pour Paris, mais la ligne est coupée par les bombardements prussiens. La guerre, la guerre, la guerre : "C'est effrayant, les épiciers retraités qui revêtent l'uniforme ! ... ma patrie se lève !... moi, j'aime mieux la voir assise ; ne remuez pas les bottes ! c'est mon principe", écrit-il à son professeur Georges Izambard. Alors, Arthur marche vers Charleroi, en Belgique, où il compte, de là, rejoindre Paris. Il y parviendra en septembre, mais pris sans billet il sera emmené directement à la prison de Mazas... Paris devra attendre un peu...
Ce sera au moment de la Commune.
Exemplaires
Code-barres | Cote | Localisation | Section | Disponibilité |
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aucun exemplaire |