À l'ouverture du testament de son grand-père bien-aimé, le narrateur tombe des nues. Ses soeurs héritent de toute la fortune familiale. Il n'a pour legs qu'un carnet de cent pages blanches. Mais ce calepin vaut de l'or, il est magique, et exclusivement pour lui. Lorsque le jeune homme inscrit sur une page l'évocation d'un souvenir, son écriture ne s'efface pas et il revit un fragment du passé dans le détail, avec sensations fugaces, émotions et fous rires partagés. Et dorénavant, comme par hasard, le passé se décante, l'amour et l'argent lui tombent du ciel. Merci Papi ! Après Dieu est un pote à moi (NB novembre 2008), Cyril Massarotto signe un roman aussi léger et bourré de bons sentiments que le précédent, construit sur une idée insolite permettant des flash-back. Un conte de fées moderne, séduisant pour la génération actuelle de jeunes adultes dont le héros est le stéréotype : sympathique, beau, adoré par sa famille et son meilleur copain, avec un brin de fantaisie (parents écolo morts en voulant sauver une vache indienne, profession amusante : le casting d'animaux pour la publicité). Tous les ingrédients d'une recette qui fait pschitt ! (source : les-notes.fr)