Qui sont les quantités négligeables ? Certaines photos de Marco, tentatives dérisoires pour dire le monde... Certains hommes, cassés après des années de travail sur les chantiers... Certaines vies banales qui basculent dans des choix discutables... Manu Larcenet ne juge jamais et soulève des interrogations sur la condition humaine avec une intense pudeur. Comme à la lecture du premier tome, on referme le livre bouleversé, la larme à l'oeil avec cette sensation unique d'avoir rencontrer un être humain, un vrai... Prix du meilleur album Angoulême 2004. Le Combat ordinaire est également le deuxième lauréat du prix du public L'Express, Télé Poche, Canal BD et a été salué par une presse unanime : "Le meilleur roman du moment." Voici "Un livre poignant." Le journal du Dimanche "Un petit bijou d'intelligence." Ouest France "Le courage de vivre et de choisir." Le Monde "Larcenet s'affirme." L'Express "Le style de Larcenet attire la sympathie." Lire "Une des valeurs sûres de la BD française." Elle "Une BD essentielle." La libre Belgique Et ce concert de louange n'est que justice. D'autant que ce deuxième tome est peut-être encore meilleur et plus touchant que le premier. Parfois très triste, souvent bouleversant. Les Quantités négligeables parlent des rapports de l'artiste avec son oeuvre, de la montée de l'extrémisme, du rapport aux autres avec énormément de sensibilité et une intelligence rare. Marco poursuit sa route, monte une expo de ses photos dans une galerie chic à Paris, retourne sur les chantiers navals où travaillait son père pour photographier les ouvriers du chantier et ses anciens amis, s'installe avec la jolie vétérinaire et la magie opère toujours, le livre vous saisit et ne vous quitte pas. Rares sont les lectures dont on ressort meilleur...