La famille Arbuckle a des problèmes. Quand Jon propose à une fille de sortir avec lui, elle lui répond : "Je suis célibataire, mais pas désespérée." Il en arrive à penser qu'il a perdu son identité et que personne ne le respecte. Heureusement, Garfield, lui, retrouve son identité au fond de la poubelle. Garfield, lui, voudrait bien arrêter de manger entre les repas, mais le concept "entre les repas" ne signifie rien pour lui. Quand Jon se pose des questions existentielles et lui demande : "Où allons-nous, Garfield?", il répond sobrement : " A la cuisine." Et puis, en plus d'Odie qui l'énerve avec sa bonne humeur indestructible, il n'arrête pas de rencontrer des chiens bizarres, vachement sympas, qui tiennent absolument à lui montrer leurs photos de vacances. Ça lui fiche la trouille. Sans compter toutes ces souris dans sa gamelle d'eau, qui font du ski nautique et laissent traîner leurs bouées. La télé le déprime aussi : ils passent sans arrêt des films sur les exploits héroïques d'un brave chien gentil, jamais d'un brave chat gentil. Pourtant, Garfield est gentil : il écrabouille définitivement une fourmi laborieuse pour qu'elle prenne des vacances. Malgré tout, nous avons droit à un pur moment de poésie, quand Garfield s'endort de bonheur sur son gros cadeau de Noël après l'avoir secoué dans tous les sens pour voir s'il était mûr...